Carnet de voyage Marseille et ses calanques


Allez, c'est reparti. A la découverte de Marseille, de son pastis... mais surtout de ses merveilleuses calanques où il fait bon vivre. 
 Et bien oui, c'est encore une fois à bord d'un voilier que je découvre la Méditerranée. J'aurais même le plaisir de dormir sur le pont, sous la voûte étoilée, lorsque nous serons au mouillage, loin du bruit et des rumeurs de la ville.
 En Vau, l'une sinon la plus belle calanque. Mais attention, on ne peut pas y rester plus d'une heure. Le temps d'un petit bain et d'un croquis et hop, nous allons rendre visite à sa voisine, Portmiou.
 Et voilà Cassis la belle ! Mais là, beaucoup de monde. Les pointus sont au garde à vous le long des quais pour se faire admirer par les touristes.


 La Ciotat, beaucoup moins fréquentée. C'est vrai que ces chantiers, à l'entrée du port découragent les visiteurs. C'est un tord. J'aime beaucoup cette petite ville où nous restons bloqués deux jours pour cause de mistral. Ce sera l'occasion d'assister aux joutes nautiques.


Tout près de la Ciotat, la calanque de Figuerolles où je tenterai un bain par mistral. Mauvaise idée. Mieux vaut se caler à l'abri du vent et croquer les habitués de la plage ou la vue du haut de la volée de marches avec vue sur le pic.
 Retour à Marseille, petite escale à l'Estaque et dernière nuit sur le voilier avant de regagner la terre ferme. Le lendemain, au programme, la maison du Fada ou si vous préférez Le Corbusier. Beaucoup trop rectiligne pour moi...

 

 Les derniers jours à Marseille se passeront, tantôt sous le soleil, tantôt sous la pluie. Eh oui, il pleut aussi à Marseille ! Mais le vallon des Auffes est toujours plein de lumière, avec ses maisons colorées, son port, son pont... comme hors du temps.

Le vieux port et son marché aux poissons, tout frais débarqués des bateaux. Pittoresque, il ne faut pas manquer ça. Je dessinerai de loin "la vieille au landeau", elle m'impressionne un peu et je sens qu'il ne faut pas venir l'enquiquiner. 
 
Visite de l'exposition sur les orientalistes à l'hôpital de la vieille charité. Dans les pièces sombres, les tableaux invitent au voyage. Je n'ai plus de place dans mon carnet, tanpis, je dessine sur la couverture.

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